Salut moi c'est Bastien et ça fait 4 mois que je suis avec la belle Myriam. Elle a décidé de me présenter à c'est parent mais avant elle me prévient en chemin.
- Ton "beau-père" est particulier et mytho sur les bores. En ricanent.
- Ne commence pas. Je suis déjà assez nervé comme ça.
Je m’avance d'un pas décidé vers la porte pour y toquer, quand un homme l'ouvre en trombe et me serre dans ces bras
-HEY! L'AMI! "de ma petite princesse". En donnent des petits coups de coude à Myriam.
-Bonsoir... Adam, je suppose... Encore surpris de la brutalité amicale de l'homme.
-Bastien je te présente mon père. Me répond Myriam en levant les yeux au ciel.
-Rentrez rentrer mes tourtereaux. Nous dit tout existé Adam.
-Ça va être long, me chuchota Myriam.
La soirée se passa bien, ont rigolé, ont mangé, ont discuté mais à un moment, dans la soirée, le vice du chef de famille reprit le dessus.
Adam, ouvre la fenêtre du salon pour rafraîchir la maison, se posent 2 secondes et disent
-A! Ce froid, me rappelle la fois où on m'a envoilé au pole nord.
-Comment !? Surpris pars ce qu'il venait de dire.
Les filles se mirent à souffler et l'homme se rassoie en face de moi et me raconte.
-À l'époque, je travaillais pour les services secrets français pendant la guerre froide. On m'envoila au pole nord, car on avait appris que la Russie y prépare une expédition pour prouver sa supériorité. Ma mission, était de les stopper, pour sa j'avais un fusil sniper et de quoi survivre un mois. On me déposa sur leur trace une semaine après eux, la traque avait commencé. Je me suis mis à les pister comme un loup en quête de nourriture. Ma route était parsemée d'ours que j'abattis d'une balle entre les 2 yeux pour chacun d'eux, rien ne devait me ralentir. Mais ma hardiesse m'avait fait repérer et quand je les vis ils avaient monté des défenses de glace. Avec la lunette de mon fusil je pue repairé des minuscules trouent de quoi loger une balle. Il me fallait me dépêcher avant que la glace ne si forme. Je tire une première balle, un crie provenant de leur campement retenti, une deuxième puis une troisième je vidais mon chargeur sur leur mur quand plus aucun bruit, le silence après le carnage. Ma mission était remplie je pouvais enfin rentrer chez moi.
- Eeeeeuuu, tu n'as pas vérifié s'il était mort et tué une simple expédition ce n'est pas le risque d'une vraie guerre et ....